De bons programmes

Le sport c’est pour la vie s’engage à veiller à ce que les athlètes canadiens bénéficient d’une bonne programmation. Cela signifie qu’il faut s’assurer que le sport est adapté au développement, centré sur le participant, progressif et stimulant, et qu’il présente des compétitions significatives. Dans les cinq vidéos suivantes, nous parlerons avec des athlètes, des entraîneurs et des professionnels du sport de la façon dont nous pouvons concevoir des trajectoires éducatives qui sont inclusives, encourageantes et épanouissantes.

Adapté au développement
Comment rendre le sport adapté au développement?

Il s’agit de faire ce qu’il faut pour les participants, quel que soit le stade de développement où ils se trouvent. Corey McNabb, de Hockey Canada, explique à Le sport c’est pour la vie comment ne pas « prendre un jeu d’adulte et l’imposer à de jeunes garçons et filles ». Le directeur général de Le sport c’est pour la vie, Richard Way, envisage un monde sportif où l’entraînement et les compétitions sont conçus en fonction des progrès de développement des participants. L’olympien Thomas Jones se fait le champion de parcours conçus sur mesure pour chaque enfant. Enfin, le Dr Cari Din, olympienne, décrit ce qu’elle a appris du parcours de son fils en matière de littératie physique.

Centré sur le participant
Donner la priorité aux participants

Le sport c’est pour la vie entend des athlètes tels qu’Emma Mitchell parler de l’impact du sport sur leur vie. La nageuse synchronisée Halle Pratte pense que le sport l’a rendue plus résiliente, en l’aidant à se rendre compte que ses objectifs sont réalisables. Richard Way, PDG de Le sport c’est pour la vie, et Andrea Carey, directrice, affirment qu’un élément clé de la priorité accordée aux participants consiste à garantir l’inclusion, à accueillir tout le monde et à rendre les programmes accessibles aux personnes handicapées dans la mesure du possible.

Progressif et stimulant
Gagner deux fois, perdre une fois

Selon Richard Way, PDG de Le sport c’est pour la vie, un sport de qualité ne doit pas impliquer de gagner tout le temps, mais il ne doit pas non plus impliquer de perdre tout le temps. La compétition doit avoir un sens. Un indicateur de l’importance de la compétition est le fait que les athlètes gagnent deux fois et perdent une fois. Le Dr Stephen Norris et l’athlète olympique Thomas Jones discutent des meilleurs moyens de s’assurer que les élèves sont pleinement engagés dans leurs efforts et ne se découragent pas.

Une compétition significative
Une chance de gagner

Jadine Cleary de Synchro Canada parle à Le sport c’est pour la vie des meilleures façons de créer des compétitions significatives pour les athlètes. Le Dr Stephen Norris et le chef de la direction de Le sport c’est pour la vie, Richard Way, décrivent les meilleures façons de concevoir des compétitions personnalisées en fonction de chaque individu, afin que chacun ait une chance de gagner. Selon Cleary, le sport est actuellement orienté vers les développeurs précoces, ce qui signifie que d’autres athlètes potentiels abandonnent avant de pouvoir atteindre leur propre succès. Le sport c’est pour la vie aimerait que les règles du jeu soient plus équitables.

Étude de cas sur la concurrence loyale
Combler les lacunes

Jadine Cleary de Synchro Canada parle du parcours de son organisation pour créer des occasions de compétition significatives pour ses athlètes, en utilisant le matériel éducatif fourni par Le sport c’est pour la vie. Une des découvertes était que leurs jeunes athlètes étaient jugées par le même système que les athlètes seniors, ce qui signifie qu’elles sautent dans les compétences spécifiques au sport et dans la compétition adulte trop tôt sans développer les compétences de base. En décomposant leur évaluation en trois notes différentes, ils ont aidé leurs athlètes à se concentrer sur les compétences qu’ils doivent travailler.

jusqu'à l'ouverture du Sommet Le sport c'est pour la vie 2025!

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