Femmes et filles
La situation au Canada
Le nombre de femmes et de jeunes filles faisant régulièrement de l’activité physique, pratiquant des sports récréatifs et participant à des compétitions d’élite a augmenté rapidement au cours des dernières décennies. C’est tout à fait significatif compte tenu du fait qu’il n’y avait pas de femmes qui ont participé aux premiers Jeux Olympiques en 1896. Les femmes et les filles, cependant, qui représentent plus de 50 pour cent de la population du Canada, continuent à être sous-représentées dans le système sportif et l’activité physique.
Des différences significatives entre les sexes persistent dans la participation et le leadership dans le système de l’activité physique et le sport canadien. Les femmes et les filles déclarent généralement être confrontées à plus de barrières dans le sport et dans l’activité physique que les hommes et les garçons, affectant ainsi leur participation en tant que participantes, athlètes, entraîneuses, arbitres et dirigeantes.
Il est important de noter que le développement des athlètes féminines nécessite une approche différente. Les programmes d’entraînement ne sont pas « universels ». Une meilleure compréhension du caractère unique de l’athlète féminine permettra une éducation adaptée à l’athlète, une meilleure sensibilisation aux conditions connues comme nuisant à la performance au féminin et une plus grande prévention s’y rattachant.
Ce que fait Le sport c’est pour la vie
Le sport c’est pour la vie permet aussi de remédier aux lacunes identifiées au sein du sport organisé, de la programmation en activité physique et du cadre de développement à long terme de l’athlète, pour aborder de la bonne façon la différence entre les sexes. Il est temps de mettre en place les conditions optimales et les meilleurs systèmes qui aideront les femmes et les filles à être actives à tout stade de la participation ou de la compétition et d’agir en tant qu’entraîneurs, arbitres, leaders et toute autre fonction liée au sport et à l’activité physique.
