Se donner les moyens : Impact du Sommet canadien virtuel Le sport c’est pour la vie 2021

Du 26 au 29 janvier et du 2 au 4 février, Le sport c’est pour la vie a tenu le Sommet canadien virtuel Le sport c’est pour la vie 2021 — notre premier Sommet virtuel à ce jour.

Plus de 1 200 participants ont pris part à sept jours de sessions, conférences, séances de questions et discussions ouvertes sur le thème « Se donner les moyens ». Les présentations enregistrées seront disponibles jusqu’au 7 mai sur la plateforme Whova. Si vous n’avez pas pu participer au Sommet, mais que vous désirez voir les enregistrements, vous pouvez vous inscrire pour y avoir accès.

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Du volet Les fondements du parcours aux volets Le parcours de l’athlète, Un parcours pour la vie (en santé et actif), Un parcours pour tous et finalement Sport de qualité et développement durable – ainsi que pendant les deux journées francophones – les inscrits ont pu participer à des débats et à des discussions profondes sur les principaux concepts du développement à long terme. Ces discussions ont notamment porté sur la littératie physique, le sport de qualité, l’inclusion, l’accessibilité toute la vie, ainsi que sur les façons d’utiliser efficacement les politiques sportives pour offrir à tous des expériences de qualité appuyées par de bonnes pratiques durables.

Dans le volet Un parcours pour tous, la joueuse canadienne de rugby et conférencière Pamphinette Buisa a dit : « Je me suis même sentie sous-qualifiée pour parler [de justice et de lutte au racisme], même en tant que personne de couleur, parce que j’étais habituée à un système, à une structure, à avoir à me conformer et à performer, au lieu d’informer et de réformer. »

C’est une citation qui, presque deux semaines plus tard, continue à ressortir du Sommet, et qui est liée à l’un des principaux enjeux de l’événement de cette année : remédier au racisme systémique dans le milieu du sport et de l’activité physique, dont, entre autres, le racisme envers les personnes noires et le racisme envers les Autochtones.

Quelle plateforme détenons-nous, que nous n’avions pas déjà, ou qui a déjà été découverte? Et comment pouvons-nous créer le changement? Comment pouvons-nous informer et réformer nos organisations?

Pour ceux qui étaient présents, ce sont des questions comme celles-ci qui continuent à témoigner de l’effet durable du Sommet de cette année.

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